À l’issue d’une ère de guerres sanglantes, les Hommes sont parvenus à développer une civilisation aussi pacifique que prolifique.

Tellur est un monde en Paix, un rêve devenu réalité au prix de sacrifices incommensurables… et grâce à l’Édit d’Alambrisa.

Plus de trois-mille six-cent ans après la rédaction de l’Édit d’Alambrisa, Sicara Narki accède au prestigieux statut d’Apprentie et intègre le lieu de formation des Mages les plus puissants de Tellur, sous l’égide du plus mystérieux des professeurs.

Mais elle est loin de mener au Conservatoire la vie studieuse et sereine à laquelle elle a toujours aspiré. Une série de drames sans précédent vient perturber la Paix d’Alambrisa et très vite, l’Apprentissage de Sicara prend une tournure inattendue et dangereuse qui changera du tout au tout le cours de son existence…

… et peut-être même la civilisation de l’Édit tout entière.


L’Humanité a toujours souffert de la Guerre.

 

De tous les fléaux, elle est la mère ; et si chaque épidémie éclate après une longue période de latence, c’est pour revenir encore plus tenace, encore plus meurtrière.

Comme bon nombre de cataclysmes, la Guerre ne connaît pas de remède. Même lorsqu’enfin elle semble s’être éloignée, les restes épars de la vie de ses victimes ne sont plus que crainte et tourment. La rechute est inévitable.

Il est parfois possible de contraindre l’épidémie en une zone restreinte. Il arrive que les braises ardentes de la Guerre couvant dans les cœurs blessés des Hommes ne croissent pas en un feu dévorant, épargnant alors plusieurs générations. Mais un jour ou l’autre, la Guerre ressurgit en un torrent dévastateur de rage et de folie, emportant tout sur son passage, laissant les Hommes toujours plus faibles, plus seuls, plus égarés. Mourants.

 

Après un âge de conflits sanglants, les Hommes parvinrent à identifier non l’un des facteurs déclenchant le mal, mais celui qui sans répit l’entretenait, le nourrissait.

Des siècles furent nécessaires à l’éradication de cet oxygène de la Guerre. Les Hommes développèrent une société à l’image du monde animal, maintenant de constants efforts pour préserver la Paix. Il y eut du tumulte. Il y eut une Révolution. La répression fut terrible, la surveillance accrue.

Enfin, le nombre de conflits chuta vertigineusement, épargnant de nombreuses familles, préservant les arts, les sciences et l’architecture de génération en génération. Les enfants commencèrent à naître pour vivre, non plus pour mourir.

Ainsi les choses furent-elles faites. Des millions de vies furent épargnées.

 

Au prix de sacrifices incommensurables…


Par souci de commodité, mais aussi parce qu'il est moins impressionnant sous cette forme, L'Edit d'Alambrisa existe au format poche. 

 

Il a fallu séparer le roman en quatre tomes, pour quatre fois plus de jolies couvertures ! 

 

Cette édition est disponible sur Amazon elle aussi, dans les "formats et éditions", sur la page dédiée à L'Edit d'Alambrisa.